jeudi 27 février 2014

Présentation de deux sites web !

Bonjour, je n'envoie plus de liens d'information, c'est vrai, mais par contre, deux sites web ont récemment été créés. L'un d'entre eux est plutôt fini, quand l'autre commence à peine sa création.

Je parle bien sûr de Génér'action solidaire, mais il y en a un autre. Après le blog de l'ALCH(ou le blog Helpliz, comme vous voulez), voici le site !

Génér'action Solidaire : 

Une référence sur le harcèlement scolaire,  à visiter absolument, passage obligé ;)



Le site de l'ALCH : 


En passant, nous recherchons éventuellement des "bénévoles" qui auraient des compétences dans la mise en page pour Wordpress, afin de finaliser correctement le blog. Les personnes volontaires auront droit à leur version PDF du livre "De la rage dans mon cartable" ! Même si vous souhaitez uniquement prodiguer des tutoriels, vous êtes la bienvenue, ce peut être d'une grande aide.

Merci de votre lecture et pour votre visite !

mercredi 19 février 2014

L'association : à quoi ça sert ?

J'ai pu avoir récemment un débat à propos de l'existence des associations avec une personne, que je garderais anonyme. Comme toujours et pour beaucoup de monde, on ne sait pas trop quoi répondre sur le moment. Et puis on y réfléchit, seul, tranquillement, et on fait du chemin dans sa réflexion, jusqu'à aboutir à une conclusion.  En fait, j'aurais pu continuer à agir dans l'ombre pour lutter contre le harcèlement et mener des actions privées comme je le fais souvent, à savoir aider, soutenir, conseiller, écouter, et dialoguer avec les jeunes victimes de harcèlement scolaire. Seulement, pour mener des actions publiques de sensibilisation, et être aidé dans ces démarches, il y a des organismes que l'on peut apparemment contacter. Mais pour recevoir des aides financières, il faut absolument avoir une association et un compte ouvert au nom de l'association.

De plus, il s'agit parfois de mener des actions concrètes, comme mettre des parents ou un établissement scolaire au courant de ce qui se passe, de l'enfer que vit, au quotidien leur enfant ou adolescent(e). Avant qu'un drame n'arrive.
Quand on est une personne lambda, de tous les jours, on offre moins de crédibilité que lorsque l'on évoque le nom d'une association, et malheureusement, on peut alors se retrouver freiné devant nos tentatives d'actions.

Ensuite, pour faire une intervention dans des établissements scolaires, mieux vaut peut-être avoir une association, même si on n'en a pas forcément besoin. Mais ce fait peut éventuellement jouer en notre faveur, mieux vaut représenter une association, que venir en tant que tel. Ce ne sont que des papiers remplis et offerts à une administration en particulier (greffe des associations) qui nous offrent en échange d'un peu d'argent, l'opportunité de gagner en crédibilité, et qui élargit notre champ d'action des possibilités.

Autre avantage, personnel celui-là : on peut y gagner en responsabilités, apprendre des choses qui nous paraissent au premier abord compliquées. La comptabilité, l'administration, la gestion, le secrétariat, d'une manière ou d'une autre, on touche de façon très peu profonde à tous ces secteurs, mais on s'y intéresse de loin, et ça permet de s'ouvrir éventuellement à de nouveaux horizons professionnels pour plus tard, sans trop avoir à s'engager dans ce genre de tâches et tout en gardant une entière liberté. C'est l'occasion de mûrir lorsque l'on ne se sent pas encore être un adulte accompli.

C'est également quelque chose qui peut être avancé sur un CV, puisqu'il s'agit d'une expérience valorisante et cela prouve notre motivation à nous bouger. En ce qui me concerne, je rêve de pouvoir vivre de cette lutte contre le harcèlement à l'école afin de pouvoir m'y consacrer à temps plein, pour éviter de nouveaux drames dans les familles.

L'association n'est finalement qu'une vitrine, qui offre de nombreux avantages. Mais à contrario, il est indispensable de la faire fonctionner, et sa création prend du temps. Comme on dit, un mal pour un bien... ou un bien pour un mal. Autre avantage : elle permet, entre les membres, les représentants, et les personnes aidées, de créer du lien, puis de rester en contact, et finalement, très souvent, de nouvelles amitiés ne peuvent que se créer au fil du temps.

L'association est donc juste une personne morale, mais ce qui compte réellement, ce sont les actions menées par chacun d'entre nous. Publiques(forum santé-environnement) ou privées(soutien de la jeunesse), peu importe. C'est seulement le bien-être de la jeunesse qui nous importe. Nous avons vécu le harcèlement, et si nous avions pu avoir une main tendue, ça aurait été génial. Mais nous n'en avons pas vraiment eu, ça a continué. Un proverbe, infantilisant j'en conviens, dit  : "ne fais pas aux autres ce que tu ne veux pas que l'on te fasse". Alors nous tentons d'apporter aux autres ce dont nous avons manqué...

J'espère que mon texte n'aura vexé personne...



Encore un report ! +Explications

L'auteure du livre "De la rage dans mon cartable" est déjà passée  dans plusieurs émissions et journaux locaux, et son émission devait être diffusée le 28 février mais a finalement été décalé au 12 mars. L'heure ne devrait normalement pas changer. On vous tient au courant s'il y a du nouveau ! 

Quand à la rédaction de nouveaux articles, je n'ai actuellement pas vraiment d'idée pour rédiger un mini-pav voire un texte complet.  Aussi, si vous avez des sujets qui tournent autour du harcèlement scolaire, que vous aimeriez que je développe, n'hésitez pas à me soumettre vos idées... Quant à moi je vais tâcher de trouver quelques choses à rédiger dès que possible. 

Mes journées ne sont pas si chargées que ça en ce moment, mais elles me paraissent pourtant remplies, d'où mon absence par rapport au blog. En effet, je travaille avec différentes structures pour améliorer la construction de l'association, mais aussi et surtout pour réaliser le forum santé, qui s'avère à la fois plus simple et plus compliqué à construire que ce que je pensais. 

En effet, c'est plus simple car j'ai maintenant pas mal de documents et des étapes assez claires. Et j'ai le temps pour les réaliser. Mais c'est un peu plus compliqué parce qu'il faut que je les réalise toutes, qu'il y a beaucoup de choses à faire, même si en fait c'est peu. Si tout ça semble paradoxal, finalement, c'est un peu ce qui se passe lors de tout projet plus ou moins ambitieux. Vous en saurez plus au fur et à mesure des mois écoulés. 


samedi 8 février 2014

Report du forum Santé-Environnement.

Les actions à mener pour concrétiser entièrement le forum Santé-Environnement, et la date fixée au 2 avril se rapprochant beaucoup trop vite, l'action a été reportée en Septembre, mais nous ne connaissons pas encore la date exacte.

Merci de votre compréhension  !

Edit : en attendant, des interventions à propos du harcèlement scolaire seront réalisées au sein de différents établissements(collège et primaire, et, à plus long terme, dans des lycées).

Quand les souvenirs reviennent...

Il s'agit un peu de là de mon témoignage personnel. Le collège, pour moi c'était 2003-2009, et ma période "harcèlement scolaire intensif", c'était de 2006 à 2009.

Collège : 
-Tu ressembles à un crapaud(parce que je portais un t-shirt vert).
-T'es moche, tu pues
-M'appelaient toujours par mon nom de famille, sachant très bien que je détestais ça
*Tentaient de faire un échange de cartes 1 carte d'un jeu contre 3 autres pour 1 autre jeu(= racket, en quelque sorte)*
*Ils faisaient mine de s'essuyer sur mon épaule, et, si l'on ne disait pas "pardon", ils te frappaient, j'ai déjà eu des bleus ainsi*.
*Me faisaient croire qu'ils avaient caché(ou avaient vraiment caché, je ne sais plus) mon sac dans les toilettes des filles, juste avant un cours.
*Ils s'amusaient parfois à cacher mon sac autre part*
*Ils balançaient mes feuilles par terre quand je travaillais, ils balançaient les cartes de jeu si je jouais seul(puisque j'étais seul, donc)**
*Lorsque j'avais réussi à intégrer un groupe de façon quasi-permanente, ils m'excluaient de celui-ci pour une raison inconnue et pour une durée indéterminée*
*Malgré mes efforts pour m'intégrer dans un grand nombre de groupes, exclusion quasi-permanente = J'étais souvent seul*
*Trouvaient n'importe quel prétexte pour essayer de se "bagarrer" avec moi
*Nombreux croche-pieds*
*Sélection toujours en dernier en sport, bien sûr*
*M'excluaient du jeu de sport, puis, au moment où je finissais par être inactif faute de participation, ils m'envoyaient le ballon, pour me critiquer*
*Une fille m'appelait souvent  *chéri* très ironiquement
*Se moquaient sans cesse de mes activités*
*Difficultés relationnelles dans les travaux de groupe*
*Des mecs Regardaient par la brèche ouverte entre les portes, car les portes des toilettes n'allaient pas jusqu'au "bout" du mur.
Collège et Lycée 
*Ils créaient des rumeurs sur la relation amicale entretenue avec une fille*

Lycée 
*Boulettes de papier dans la tête*
*Message insultant via Facebook*
*Dégradation volontaire de matériel, puis déni*



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Pourquoi ne t'es-tu pas défendu ? 

Disons qu'à l'époque, je ne connaissais absolument pas le terme de harcèlement scolaire, j'ai assez vite fini par penser que ce que je vivais était normal. Mon père habitant loin, j'en parlais alors à ma mère, qui affirmait que j'étais en tort.

Le personnel est-il intervenu ?

Cependant, il est arrivé que j'ai un problème avec un gars, je ne sais plus du tout ce qu'il me faisait. Mais, cette fois-là, j'avais parlé, ma mère en avait parlé à ma CPE(j'avais 14/15 ans). Il n'y eut pas de suivi ensuite, mais la personne avait arrêté.

Les choses ont-ils changé ensuite ? 

Non, tout cela continuait. Mais je n'avais pas du tout conscience des choses, même si j'étais vraiment triste/déprimé(j'ai toujours eu tendance à alterner les 2 émotions).

Et, au lycée, tu étais plus grand, pourquoi n'as-tu pas réagi ? 

J'avais des préoccupations personnelles qui me rendaient encore plus triste, et, si j'avais conscience qu'il s'agissait de moqueries et d'acharnement envers ma personne, je ne savais pas que c'était du harcèlement, que ça portait un nom, et encore moins qu'on pouvait arrêter ça !


Pourquoi te harcelait-on, selon toi ? 

Calme, sérieux, gentil, non-violent... Autant de qualités qui ont fait que j'avais du mal à me défendre, autant physiquement que verbalement.

Mais as-tu essayé au moins de te défendre, au bout d'un moment ? 

Au bout d'un moment, oui. J'ai essayé d'écouter très attentivement leurs moqueries, leurs critiques et leurs attaques. J'ai fini par réussir à les "casser" verbalement, dès qu'ils m'attaquaient sur quelque chose qui m'appartenait(physique, activités)  mais cela continuait. Une fois, dans le premier collège où j'étais, j'avais alors 12 ans,  à un gars qui n'arrêtait pas de se moquer de moi, j'ai donné un coup de pied dans les parties. Cinq minutes après, il est revenu à la charge !

Tu en gardes des séquelles aujourd'hui ? 

Je n'en ai pas vraiment l'impression, mais pendant longtemps, je n'ai pas eu confiance en moi. Aujourd'hui, je connais mes forces et mes faiblesses. Bien sûr, j'en ai subi les conséquences, dépression, idées suicidaires, et ensuite une sorte de dépendance à une personne, que j'ai réussi à diluer dans plusieurs passions. Beaucoup de rage et la haine de moi-même face aux conséquences des conséquences du harcèlement subi(oui, vous avez bien lu).

Peux-tu nous expliquer ?

A 17 ans, à force de vivre ce harcèlement, j'ai fini par totalement disjoncter, j'ai fait n'importe quoi. Je m'en veux encore aujourd'hui. Sans insulter ni moquer ni être violent physiquement avec cette personne qui était à l'époque mon amie,  j'ai fini par me faire détester de celle-ci, puisque, d'une certaine façon, je suis passé de l'autre côté de la barrière. Il y a le harcèlement qui est à but méchant et gratuit, et il y a celui qui est dû à un manque personnel et consiste à parler/écrire de façon répétée à une personne sans son consentement, suite à un comportement totalement inapproprié à une amitié. Un harcèlement qui ne comporte ni insultes ni menaces ni autre. Mais cela reste du harcèlement.

Où en es-tu aujourd'hui ? 

Aujourd'hui, n'étant pas prêt à rentrer de façon active dans le monde du travail, je préfère me concentrer sur la réalisation de plusieurs projets. J'ai pu créer ma propre association de lutte contre le harcèlement à l'école. L'organisme de formation NOUAS m'a aidé à effectuer les différentes démarches administratives, mais la présidente de Génér'Action Solidaire(vous pouvez trouver son site web ici : http://generaction-solidaire.fr/), a accepté d'être la secrétaire-trésorière de l'ALCH. Sans elle, je n'aurais pas pu construire cette association.

Autre chose ? 
L'ALCH(Association de Lutte Contre le Harcèlement) est bien sûr à but non lucratif. Elle consiste principalement surtout à la lutte contre le harcèlement scolaire. A long terme, je souhaite vivre de cela. Mais ce n'est pas possible actuellement. Il me faut donc mener plusieurs projets personnels pour arriver à trouver ma voie "en attendant". Je ne souhaite pas reprendre des études. Si je dois le faire, je le ferais, mais ce sera à contre-coeur. J'espère plutôt pouvoir faire une formation adulte. Le harcèlement à l'école est quelque chose de répréhensible, mais le problème à l'école, c'était aussi parfois les surveillants ou les professeurs :

*Ils bloquaient les toilettes à la fin de la pause* (Pourquoi j'en parle ? Revenez à la dernière "action" du collège !)
*Sourire narquois/moqueur d'un professeur suite à un oubli de matériel*
*Les élèves(certains) aimaient porter des bonnets de Noel la semaine de Noel, ce qu'ils interdisaient*
*Ils faisaient attendre les élèves 20 à 30 minutes après l'heure de sortie, tandis que le bus nous attendait. Comme ça, pour rien ! *
*Le CDI fermait trop régulièrement, mais on avait toujours droit au mot "exceptionnellement*
*Une professeur de technologie nous montrait les choses le Lundi, il fallait s'en souvenir au Lundi prochain, sinon elle criait à s'en casser la voix*
*Ils nous faisaient attendre très longtemps dehors avant de pouvoir manger, y compris sous la pluie*

Tout ça, c'était au collège.

Au lycée, ils étaient tous bien plus corrects.

Conclusion 
Il y a sûrement plein d'autres choses à critiquer chez les professeurs des deux collèges réalisés, mais le principal sujet ici, c'est le harcèlement scolaire. Seulement, les profs, de par leur comportement, rajoutaient de l'horreur(psychologique) à l'enfer déjà présent !

mercredi 5 février 2014

Un comportementaliste face aux conséquences du harcèlement

On sait déjà très bien que le harcèlement à l'école présente de nombreuses conséquences, dont la déprime, la dépression, les idées suicidaires...Mais saviez-vous que cela peut créer certaines crises, de spasmophilie par exemple ? Concrètement, cela peut se manifester par des tremblements de la main, des "impulsions" dans la jambe, et alors, on ne peut plus vraiment se contrôler sur le moment. Certains comportementalistes essayent de traiter ce problème.

Pour rappel, l'ALCH doit lutter contre le harcèlement scolaire, mais aussi contre ses conséquences. Afin de régler le problème d'une personne qui restera anonyme, un comportementaliste a été contacté,  a prêté une oreille attentive au problème posé, et s'est montré prêt à offrir quelques conseils à cette personne.

Voici le lien de son site web :

Frédéric Arminot-Comportementaliste

dimanche 2 février 2014

L'impact des mots ; la dévalorisation

Il nous arrive à tous de faire des erreurs, plus ou moins graves. Il peut nous arriver de trahir un ami, d'une façon ou d'une autre, de blesser quelqu'un physiquement, avec qui l'on se dispute, par exemple, sans qu'il n'y ait de fâcheuses conséquences avec la justice, par exemple. Bref, on fait tous des "bêtises", de l'enfance à l'âge adulte, et même à l'âge de la retraite. Et puis il arrive que, parfois, nos mots dépassent complètement nos pensées, ou que l'on ne cherche pas tellement à réfléchir sur ce que l'on va dire. Ou encore, que l'on inhibe(c'est-à-dire que l'on oublie), les conséquences de nos actes, pour se lancer à produire cet acte. A cause de la peur, de l'appréhension, de la crainte,  on se retient, mais on sait qu'il faut le faire, alors on respire un coup, on oublie, et on le fait.

Cela peut ainsi nous amener à dévaloriser une personne à qui l'on tient, sans le vouloir. Il est donc nécessaire, pour garder la confiance et la paix avec ses relations, de toujours mêler franchise et diplomatie si, selon vous, une chose se doit d'être dite. Mais certaines choses, même en essayant de les rendre diplomates, peuvent blesser, et ces choses-là, il faut vraiment les éviter. Attaquer, de façon frontale,  une personne sur quelque chose qui la caractérise(personnalité, comportement, physique, tenue vestimentaire, etc), ou, plus grave, sur l'une de ses passions, vous est totalement déconseillé. Faire ce genre de chose et blesser gratuitement quelqu'un à qui l'on tient, ne vous apportera strictement rien, et, en plus, votre interlocuteur se sentira blessé. Sa confiance en soi pourra également en pâtir.

Ainsi, si quelque chose doit vraiment être dit, faites-le en formulant les bons mots, et si ça ne plaît pas, assumez les conséquences et présentez vos excuses. Sachez également qu'une fois c'est blessant, deux fois c'est déjà trop, c'est du harcèlement. Le mot est peut-être fort, mais pour votre interlocuteur, cela peut avoir des conséquences dramatiques.


Enfin, je sais bien que l'on ne vit pas dans "Bisounoursland", mais justement, pourquoi ne pas construire un monde où chacun est respecté, peu importe sa différence ?
Sachez aussi que les mots "négatifs", c'est-à-dire qui sont blessants, ont l'extrême pouvoir de briser l'autre. Et si vous vous sentez plus forts lorsque vous faites ça, c'est sur le moment, mais lorsque vous aurez gagné de la maturité, plus tard, peut-être vous sentirez-vous minables d'avoir agi ainsi.

De plus, autant on oublie vite les coups, autant les mots peuvent rester. Alors, merci de réfléchir à ce que vous allez dire et à ce que cela implique, avant de parler... ou d'écrire.

A l'inverse, valoriser une personne permet de lui faire prendre confiance en elle, et vous valorise grandement à ses yeux, ainsi, des deux côtés, vous avez donc à y gagner. Ne prenez pas cet article à la légère, car on croit souvent avoir conscience des choses, mais ce n'est pas toujours le cas....Si la méchanceté peut donner un sentiment de bien-être sur la courte durée(pour ceux qui n'ont pas d'empathie ; au contraire, ils sont source de culpabilité quasi-immédiate pour ceux qui ne veulent pas se montrer ainsi, ou qui ne sont pas ainsi), la gentillesse est souvent valorisée aux yeux du plus grand nombre, et vous sera ainsi bénéfique sur le long terme.



J'aimerais bien faire comprendre l'impact des mots lors du futur forum Santé le 2 avril, donc je compte sur vos idées !